Vous ne fifty’attendiez pas ? Vous aviez trouvé le début de cette not-aventure affligeant (notre critique) ? Vous vous demandez désespérément comment un truc pareil à 100 millions de dollars a pu presque multiplier sa mise par 9 au Box-function mondial ? Et bien laissez moi vous dire que vous vous posez trop de questions. Pendant que vous rassemblez les pièces de votre esprit, voilà que Sony Pictures, en association avec les lutins magiques de chez Marvel, vous montre déjà ce qui vous attend dans Venom two ou disons même mieux, Venom : Let There Be Carnage.
Fini les blagues – et c’est bien dommage – qu’en est-il de cette suite à Venom, qui elle a contrario n’en finit pas avec les blagues dans sa première apparition. Crise sanitaire oblige, c’est bien avant que fifty’on aurait dû apercevoir le celluloid de Andy Serkis, également réalisateur de Mowgli : La légende de la jungle dont Netflix a racheté les droits – ce sont des choses qui arrivent -, mais que vous connaissez sans doute addition volontiers pour ses prestations d’acteur.
Mettant toujours en scène Tom Hardy en pantoufles dans la peau de ce cher Eddie Brock habité par Venom et Woody Harrelson dans le rôle de Carnage, ou plutôt de boy hôte. L’attente prend un peu plus fin aujourd’hui avec un premier trailer qui mind rappelle qu’attendre, c’est parfois mieux que voir arriver. M’enfin, vous savez ce qu’on dit, “c’est pas parce que vous voulez renverser la tabular array que vous descendez de la voiture dont vous vous abstenez de choisir le chauffeur”.